La soif d’apprendre, le regard vif, le sourire alerte et contagieux, sont là des identifiants par lesquels vous pourrez reconnaître l’héroïne que nous vous invitons à découvrir cette semaine. Il s’agit de Hadofini Jessica Ruphine YEHOUN, chargée de communication adjointe de l’association les Héroïnes du Faso.

Étudiante en fin de cycle licence, option communication pour le développement, l’héroïne de la semaine voue un engagement aux causes sociales. Engagée, elle l’est davantage pour la défense des Droits en Santé Sexuelle et Reproductive (DSSR) des adolescents et jeunes. Elle a été récemment faite ambassadrice DSSR par AfriYAN. Elle souhaite contribuer à la construction d’un monde où les jeunes connaissent et jouissent de leurs droits sur tous les plans, particulièrement en matière de Santé Sexuelle et Reproductive (SSR). « La SSR n’est pas un bien être seulement physique, elle a aussi un impact mental, moral et social », laisse entendre Ruphine.

Son intérêt pour la vulgarisation des DSSR remonte à ses premières expériences dans le milieu associatif. Elle nous raconte : « J’ai commencé à évoluer dans le milieu associatif avec la mise en œuvre du projet “Zéro grossesse” en tant que pair éducateur au compte du LMTL/Yako. C’est de là qu’est née ma passion pour les questions de DSSR ».

Un engagement qui se renforce davantage depuis qu’elle a intégré l’association des Héroïnes du Faso D’abord membre, elle est aujourd’hui chargée de communication adjointe de l’association.  Epousant la vision de l’organisation qui est ‘’d’une part la construction d’une société burkinabè égalitaire, inclusive, de non-violence et d’autre part l’amélioration des pratiques et mentalités afin de générer un impact positif et durable sur la vie des jeunes filles et femmes’’, Ruphine estime avoir intégré le bon environnement qui lui permettra de donner de la voix et servir sa communauté.  Notre héroïne rêve d’un monde où femmes et hommes vivent en toute égalité et où chaque couche de la société est consultée pour les questions de développement social.

Avant de clôturer notre entretien, notre héroïne a souhaité nous laisser le message suivant : « Chacun a une mission de vie et un potentiel, que je vous souhaite de trouver pour vivre épanouie. Ensemble pour une société où règnent la cohésion sociale et la paix. Let’s go ! »

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Aurélie B. SANHOUIDI

Cette semaine, découvrons ensemble le brillant parcours de Ouédraogo Samiratou. Elle est étudiante en communication et journalisme, engagée dans plusieurs associations, notamment au niveau de notre association les Héroïnes du Faso.

<< Je me suis engagée dans les associations pour apporter ma contribution dans le développement de mon pays, plus particulièrement pour favoriser le bien être de la femme dans la société, la protection des personnes en situation de faiblesse, ainsi que le bien être des enfants>> fait savoir notre héroïne. Elle entend contribuer à la construction d’une paix durable au Burkina-Faso.

La lutte pour la protection de l’environnement est également l’un de ses combats. Elle le mène dans différentes associations à travers des séances de sensibilisantion.

Aujourd’hui membre des Héroïnes du Faso, elle nous confie ce qui l’a conduit à vouloir contribuer aux actions de l’associon : << Cette association m’inspire car elle lutte pour des causes justes et mène plusieurs actions pour l’éducation et le bien être de la femme. Mon implication dans les différentes activités est une belle expérience qui me permet d’aller de l’avant.>>.

Elle espère par ses actions participer à l’instauration de la paix au Burkina-Faso et rêve rêve de voir un monde où la femme est davantage incluse dans les prises de décision des gouvernements.

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Aurelie B Dorcasse SANHOUIDI

L’héroïne que nous vous invitons à découvrir cette semaine se nomme Nebie Aloarba Madina. Souriante et taquine, notre héroïne est étudiante en fin de cycle licence en communication d’entreprise. 

Elle souhaite contribuer à faire bouger les lignes et à être une référence en matière d’engagement communautaire. Pour y arriver, elle a intégré des associations de jeunes, dont les Héroïnes du Faso.

« Mon choix s’est porté sur les héroïnes du Faso car je partage la vision de l’association ». Un engagement dont elle est fière car pour elle, l’association de par ses activités invite à se surpasser et à s’affirmer davantage.

Elle nourrit le rêve de voir une solidarité agissante entre femmes. Elle entend faire de cela une réalité et l’exprime si bien ‘’Ce que je voudrais c’est de contribuer à changer les mentalités afin que les femmes comprennent qu’elles ont un potentiel énorme de faire changer positivement les choses et qu’il est important de se soutenir. Je veux contribuer à l’épanouissement des jeunes filles et femmes car c’est ce qui booste et permet d’avancer’’.

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Aurélie Beyam SANHOUIDI

Hello , nous sommes heureuses de vous retrouver …

L’héroïne de la semaine se nomme SANHOUIDI Dorcasse Aurélie, communicatrice pour le développement de formation et rédactrice Web. Elle est de la cohorte 4 du programme de leadership « Kandace » porté par Mme Bintou Diallo et alumni du Wolaf 2023, mentorée dans la catégorie engagement sociale. Notre héroïne se définit comme une fille persévérante et ouverte d’esprit. « Depuis mes années de Lycée, je nourrissais le souhait d’être utile à ma communauté. » nous a-t-elle confié. C’est en 2020, à l’occasion de sa participation à un forum que ce souhait commencera à se concrétiser. À cette activité, elle nous explique qu’elle a eu l’occasion de rencontrer des jeunes passionnés et tous engagés dans le milieu associatif. C’est alors qu’elle en apprend davantage sur les mouvements associatifs existants et le déclic part de là. Elle commence à s’impliquer dans diverses activités communautaires et chemin faisant, en 2021 elle se retrouve membre et chargée de communication de l’association les Héroïnes du Faso. Elle est également membre de l’Association Jeunesse Espoir d’Afrique (AJEA).

Pour un changement positif et durable, SANHOUIDI Dorcasse Aurélie porte un intérêt aux causes sociales et souhaite contribuer au changement positif et durable au sein de sa communauté. Elle traduit son désir d’engagement en ces termes « Nous sommes au quotidien témoins de plusieurs injustices sociales qui interpellent et nécessite d’agir. Je veux être de ceux qui agissent pour changer les choses et l’engagement social est un moyen d’y arriver. » L’une de ses aspirations profondes est de contribuer à l’émergence d’une société égalitaire où les compétences des femmes seront reconnues et des conditions créées pour qu’elles bénéficient des mêmes chances et opportunités que les hommes. « Parce que chaque femme est une Héroïne » : c’est le slogan porté par l’association les Héroïnes du Faso. Pour l’héroïne Aurélie, ce slogan dit tout et elle le partage entièrement. Pour elle, les femmes ont un potentiel énorme qu’elles n’assument pas pleinement du fait de certaines pesanteurs socio-culturelles. « J’entends participer à la construction d’une génération de filles et femmes fortes, confiantes, qui s’assument et osent afin d’impacter positivement et durablement leur communauté. Valoriser le rôle essentiel des femmes et leurs compétences est un impératif pour moi » fait-elle savoir.

Militer au sein des Héroïnes du Faso est pour elle un canal idéal pour y arriver dans la mesure où l’association œuvre entres autres à promouvoir l’éducation des jeunes filles, l’autonomisation des femmes, à lutter contre les Violences Basées sur le Genre, etc. Par les diverses activités menées, elle a l’occasion d’être en contact avec des jeunes filles et femmes et pour elle, ce sont là des opportunités de semer les graines du changement.
Notre héroïne termine en ces termes : « Les femmes sont un socle essentiel de l’économie de nos pays qui restent reléguées au second plan. Il est temps que nous donnions de la voix et militions pour une égalité de droits. J’invite donc les jeunes filles et femmes à se former continuellement, à relever avec confiance les challenges du quotidien, à se porter mutuellement, et à faire preuve d’une réelle solidarité afin qu’ensemble nous illuminions notre pays le Burkina-Faso et le monde entier de notre potentiel. »

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Hadofini Jessica Ruphine YEHOUN

L’héroïne du jour est issue de la 4e promotion mixte du Prytanée Militaire Du Kadiogo (PMK). Elle est à ce jour étudiante en 2ème année de Master en Droit International Humanitaire à l’Université Swiss Umef Burkina.

C’est en 2017 qu’elle a commencé à évoluer dans le milieu associatif avec l’association Souno-Zi de Niaogho. Cet engagement dans l’objectif de participer à des formations et des sensibilisations de jeunes filles de son village sur les violences en milieu scolaire.

C’est donc, dans cette dynamique que COMPAORE Fawsiatou Samira a entrepris de poursuivre des études dans le domaine humanitaire afin de contribuer autant que faire se peut à changer la vie des personnes qui n’ont pas eu les mêmes chances qu’elle et de leur donner une tribune d’expression. Elle espère à l’issue de ses études, évoluer au sein d’une structure humanitaire et bénéficier d’un pouvoir d’action important pour agir à grande échelle pour promouvoir une société plus égalitaire.

Par ailleurs, elle a intégré l’association les Héroïnes du Faso en 2022 en raison des valeurs qu’elle poursuit et de sa vision qui est compatible avec ses aspirations. C’est donc admirative des actions menées par l’association qu’elle se réjouit d’en être membre “J’entends apporter ma pierre à l’édifice et contribuer auprès d’elle à la construction d’une société inclusive et dépourvue d’inégalités où la voix des femmes comme des hommes seront pris à leur juste valeur.”

Elle a terminé ces propos en invitant tout un chacun à ne pas rester en marge de cette lutte car c’est dans l’adversité qu’on réalise les plus belles choses. L’héroïne affirme ceci “On a tous un plus à apporter à notre société et c’est ensemble que nos actions auront une plus grande portée.”

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Hadofini Jessica Ruphine YEHOUN

Notre héroïne s’est engagée au sein de l’association les Héroïnes du Faso, pour joindre sa voix afin qu’ensemble nous luttons pour que les femmes soient valorisées et que leurs compétences soient reconnues, car la femme est généralement vue comme un sexe faible, incapable de faire entendre sa voix, par peur d’être humiliée où insultée. Au vu de ces inégalités sociales l’héroïne dit que : je me suis dit qu’il faut que ça cesse et qu’ensemble on y arrivera.

Avant de terminer, notre héroïne a exprimé un souhait qui lui tient à cœur en ces mots: “Mon souhait est que chaque femme se fasse une place dans la société partout où elle se trouve et qu’elle puisse jouir pleinement de sa vie. Pour cela, je m’engage totalement à lutter pour les causes qui comptent.”

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Hadofini Jessica Ruphine YEHOUN

L’héroïne ROUAMBA Faridatou a fait des études en informatique, option fouille de données et intelligence artificielle. Actuellement, elle est étudiante en fin de cycle master et animatrice digitale. Faridatou Rouamba est engagée au sein des Héroïnes du Faso, du Cadre de Concertation des Organisations sur le Genre et de Youth Open Data.

Dans ses aspirations, elle souhaite impacter les jeunes filles et femmes pour que ses actions les intéressent au digital. Elles pourront ainsi utiliser ce canal pour faire valoir leurs droits et aussi pour atteindre leur autonomisation. L’héroïne du jour a intégrée notre association parce qu’elle est extrêmement sensible aux questions relatives à la femme. Aussi, elle aimerait participer à la lutte contre les Violences Basées sur le Genre (VBG).

Avant de terminer, notre héroïne n’a pas omis de traduire son plus grand désir. Elle s’est exprimée en ces termes :
” Mon idéal est de voir l’autonomisation des jeunes filles et femmes et une grande participation de ces dernières dans les métiers numériques “

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Hadofini Jessica Ruphine YEHOUN

L’héroïne de la semaine se nomme ZIO Arianne Shérifatou Yida et est actuellement étudiante en licence 3 de droit privé à l’université de l’Unité Africaine (ex IAM). Elle est issue de la promotion 2013 du Prytanée militaire de Kadiogo (PMK).

Par ailleurs, elle occupe le poste de secrétaire générale adjointe au sein du bureau exécutif de l’association les Héroïnes du Faso. Dans son université, elle fait partie du club des juristes où elle est l’actuelle présidente.

Notre héroïne Ariane aspire à voir un monde où les femmes participent tout comme les hommes au processus de développement. Pour elles, “Les femmes sont un facteur de développement socioéconomique. Pour cela, elles doivent connaître leurs droits et pouvoir en jouir pleinement”. C’est donc dans cette perspective qu’elle associe sa voix à celles des Héroïnes du Faso afin de lutter pour ce qui compte.

Elle a intégré le milieu associatif car elle a toujours voulu se rendre utile dans sa communauté. Pour joindre l’acte à la parole, elle a donc intégré l’association des Héroïnes du Faso dont elle partage entièrement la vision. En effet, ayant conscience que l’implication des femmes est un facteur de développement, militer en faveur de leurs droits, et pour l’amélioration des conditions de celles vulnérables, c’est pour elle un moyen de jouer sa partition dans la construction d’un monde égalitaire et beaucoup plus inclusif.

Notre héroïne lance un appel en ces termes : “On a tendance à croire que la femme c’est le sexe faible, mais tout dépend de ce qu’on met derrière cette notion de faiblesse. C’est dans sa vulnérabilité que se trouve sa force.”

Sur ce, elle invite les jeunes filles et femmes à avoir confiance en elles en se percevant « compétentes » et « dignes de respect »”.

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Hadofini Jessica Ruphine YEHOUN

BAZONGO Grace Yidia Jessica est l’héroïne que nous vous invitons à découvrir cette semaine.

Étudiante en Master 1 Pharmacie à l’Université Joseph Ki-Zerbo, BAZONGO Grace Yidia Jessica est membre de l’association les Héroïnes du Faso depuis plusieurs mois. Elle est par ailleurs passionnée par la musique, la danse et les voyages.

Notre héroïne du jour veut résolument s’impliquer par des actions concrètes sur le terrain dans le but d’améliorer sa société. L’engagement social se veut être un moyen pour elle d’y arriver. Raison pour laquelle elle nous explique que : « Je me suis donnée pour objectif de militer activement dans le domaine de l’engagement social. J’entends participer à plusieurs formations en vue de renforcer mes capacités et accumuler les connaissances nécessaires pour contribuer à la lutte contre les injustices sociales ».

Un idéal que son engagement au sein de l’association les Héroïnes du Faso lui permet d’atteindre. Elle nous explique ses motivations : « Je suis une femme et j’ai besoin d’être respectée, écoutée, de défendre haut et fort mes idées, de prendre la parole en public, d’entreprendre et surtout de repousser mes limites. Cette vision est mienne et c’est aussi celle que je projette pour toutes ces femmes pour qui j’ai voulu m’engager ». Elle prend donc du plaisir à mener cette lutte auprès des membres des Héroïnes du Faso qui entretiennent la même vision qu’elle. « Dire une chose c’est bien, mais le faire c’est encore mieux. J’ai de ce fait rejoint cette association de jeunes femmes visionnaires, dynamiques et engagées car seule on va peut-être vite mais ensemble nous irons loin », ajoute-t-elle.

Notre héroïne de la semaine veut contribuer à la construction d’une société burkinabè égalitaire mais tient à faire remarquer aux jeunes filles et femmes que tout changement doit venir de nous-même. « J’aimerais alors que chaque femme sache qu’elle a de la valeur, qu’elle a le droit de s’exprimer, d’être respectée et mérite au même titre que les hommes une grande place dans la société ».

Elle conclut en invitant la gent féminine à se donner de la valeur afin que la société en fasse de même !

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SANHOUIDI B. Dorcasse Aurélie

Dynamique et toujours souriante, notre héroïne de la semaine est étudiante en 4^ème année de médecine dentaire à l’Université Joseph Ki-Zerbo, et est par ailleurs entrepreneure. Elle est convaincue que l’utilisation et la valorisation des matières premières locales est une étape importante pour le développement de nos communautés. Pour y contribuer, elle a mis en place Maï delice, une entreprise évoluant dans l’agro-alimentaire. « Maï delice est spécialisée dans la transformation des fruits et produits locaux en jus naturels, crème glacée et salades de fruits ». Elle a récemment mis en place Maï créât qui est spécialisée dans la confection des accessoires à base de nattes, une activité manufacturière qu’elle mène avec d’autres femmes.

Passionnée par l’engagement communautaire, Maïmounata Ouédraogo s’est progressivement engagée auprès de plusieurs associations pour apporter sa contribution à un changement positif dans la société. Membre de l’Association les héroïnes du Faso depuis plusieurs mois, elle milite également au sein d’autres organisations comme : l’association des étudiants en Chirurgie dentaire du Burkina Faso, les casqués du Faso, l’Association pour le bonheur des personnes nécessiteuses et l’Association Nationale des Étudiants Burkinabè.

Une envie ardente…

Elle nourrit l’envie ardente d’être utile à sa communauté par tous les moyens et cela à travers la transmission de valeurs, de savoirs, etc. Elle est donc très engagée dans la communauté et s’implique autant que possible dans les organisations et les initiatives pour le bien-être de la société. « Dans la société, les femmes sont marginalisées et laissées pour compte. Alors, militer dans les Héroïnes du Faso est une occasion pour moi de participer à la conscientisation de la jeune fille et de la femme. Mon objectif c’est d’impacter positivement ma société et plus spécifiquement la gent féminine » nous confie notre héroïne.

Avant de clôturer notre interview, Maïmounata Ouédraogo a tenu à partager un message avec les jeunes filles et femmes. « Mon cri de cœur à l’endroit de toutes les jeunes filles et femmes, c’est de les inviter à ne jamais abandonner face à l’adversité et aux inégalités persistantes rendant difficile leur pleine intégration dans le développement de la communauté ».

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SANHOUIDI B. Dorcasse Aurélie